Chromique #254

Chaque chose

T’as pas dit les mêmes choses l’autre fois dis… et dix fois au moins. C’est dit point. Alors quoi… dilettante va !

J’ai senti le vent tourner, c’était bien.

Chaque chose à sa place, chaque place a sa chose.

J’ai cru me réveiller ce matin, mais non, j’ai encore rêvé être une envie de réussite sociale.

Ton surmoi en bandoulière !

Je sais plus où je l’ai fourrée, mais j’ai plus ma langue dans la poche.

Le sens de l’histoire.

Tu as pris des couleurs ces derniers temps, mais va falloir quand même tout rendre hein.

Tu peux mourir idiot, c’est pas grave tu sais.

La traintrain, des choses qui passent… une image de Yann Febvre illustrant une de ses chroniques pour Magazine Aléatoire.

Guère de doutes, tout va traintrain.

À l’hippodrome, oui oui j’y étais.

C’est pas parce que tu as l’impression que je fais rien que je fais pas grand chose.

La pensée banale et dominante de l’art contemporain.

Parfois, j’ai le hoquet de la parole.

Petit moustique, tu les aimes les chaussettes à rayures hein.

J’ai bien senti que le journal du matin était un peu grippé… Zut.

Mais oui, je continue, comment te dire… à l’ombre de la lumière, je crois que ça me suffit maintenant.

J’ai toujours le dernier mot, et il décoiffe le premier, et oui.

Et puis…

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Nos idées. Boris Billier

Nos idées. Boris Billier

Comme on devient. Yann Febvre

Comme on devient. Yann Febvre

Comme ça meut. Yann Febvre

Comme ça meut. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Le prénom de la mouche. Yann Febvre

Le prénom de la mouche. Yann Febvre

L’intérêt des lieux communs. Yann Febvre

L’intérêt des lieux communs. Yann Febvre