Chromique #80

Mourir à l’envers

J’ai beau tourner les pages, j’en suis toujours entre le début et la fin.

Putain de merde de bordel de saloperie, c’est quoi ces conneries !

Toute une vie passée à être banal, pour si peu, te pense pas exceptionnel maintenant.

Héroïsme et morale, forme d’aliénation.

Je suis passé du coq à l’âne, c’était bien.

C’est d’accord, tu me payes en liquide mais je l’encaisse pas de suite.

Être vivant, c’est mourir à l’envers.

Tu vois, ce que je te dis, ça peut pas se traduire par des mots.

Tout un monde, en ruines… une image de Yann Febvre illustrant une de ses chroniques pour Magazine Aléatoire.

L’est est à l’ouest.

À l’hippodrome, j’ai vécu comme dans un roman de gare.

Je ne suis que cendres à l’intérieur.

Tu comptes passer de ton état larvaire à une forme quelconque d’intelligence un jour ?

Pas très absorbant ce journal du soir… Zut.

Petit homme, tu l’aimes le centre dis-moi.

Demain, c’était comme hier.

J’ai bu la tasse, le petit doigt relevé.

Et par là encore…

Une fracture sociale. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Portant que de savoir. Boris Billier

Portant que de savoir. Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

En que sorte. Boris Billier

En que sorte. Boris Billier

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Le prénom de la mouche. Yann Febvre

Le prénom de la mouche. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

En plus de la marche arrière. Yann Febvre

En plus de la marche arrière. Yann Febvre