Chromique #10

Souvent toujours

En premier, penser à ce que tu vas écrire en dernier.

Hé, on a la même langue et on comprend pas souvent toujours les mots qu’on se parle.

Faut accepter d’être ce que tu voulais pas devenir mon gars.

J’ai tourné de l’œil juste au milieu de l’impasse escarpée du bout de la petite ruelle circulaire adossée à la place exiguë de l’étroit canal longeant cette journée sans cervelle.

Remontée des colères.

L’émerveillement de tous les instants, ça pue non ?

Tu frises le sublime quand t’es raide.

Aïe, j’en perds le kangourou.

Partir… ou flotter, une image de Yann Febvre pour une de ses chroniques pour Magazine Aléatoire.

J’ai glissé dans mes oreilles I take a lot of pride in what I am de Merle Haggart, The car thief de The Residents, Chansons d’amour de Mike Patton et Jean-Claude Vannier, Inclined d’Eartheater, Soy lo prohibido de Diego el Cigala, Return to margin de Coldcut, Avant l’aube d’Erik Truffaz et Murcof, I’m new here de Gil Scott-Heron. Ça m’a dit de ma vie des autres.

J’ai parlé à l’abeille, c’était bien.

Oh non… obligation de résultat !

Côté brûlant, plutôt tiède ce journal… zut !

J’avais la côte, mais j’ai calé.

La nature j’adore ! Les sols-pleureurs, les oran-goûtants, les rouges-georges, les mille-pâtes, les cumulus-nimbus, les cochons-dinde, tout ça.

Le bazar fait bien les choses.

Cette violence, j’ai encore rêvé d’être un trou de balle.

Quoi ! C’est déjà fini ? 

Et puis…

Comme ça meut. Yann Febvre

Comme ça meut. Yann Febvre

Comme on devient. Yann Febvre

Comme on devient. Yann Febvre

En que sorte. Boris Billier

En que sorte. Boris Billier

Chaque chose. Yann Febvre

Chaque chose. Yann Febvre

Même déplié. Yann Febvre

Même déplié. Yann Febvre

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Portant que de savoir. Boris Billier

Portant que de savoir. Boris Billier