Chromique #810

Comme on devient

T’as ce je ne sais quoi qui fait que je ne sais plus.

Détruire.

Art et libéralisme, copains comme cochon dis.

Waouh t’es tellement brillant toi que tu réfléchis pour les autres !

Regarde comme on devient.

Mais non, c’est pas les hippopotames, à l’hippodrome, qui tournent en rond.

J’écrirai mes mémoires et une fois disparu, je me souviendrai de toi mon enfant.

J’ai levé le doigt, c’était bien.

Je suis d’accord avec ce que tu dis, surtout quand j’y pense plus.

On se fait la malle, toute une vie… une image de Yann Febvre illustrant une de ses chroniques pour Magazine Aléatoire.

Dites juste « Aaaah », je parlerai du reste.

Petit poulpe, Kafka c’est ta madeleine pas vrai…

Eh au fait, j’ai déplacé le bureau un peu vers la gauche, même s’il semble toujours légèrement à droite.

Ce que t’écris, littérature Carambar non ?

Ce journal est plutôt vide entre les lignes… Zut !

Au très fond de l’intérieur de toi-même, c’est pas comme une peste bucolique ?

Je parle plusieurs langues : $, €, ¥, £, ₽, ₩…

Finissons d’ordonner le monde et passons aux choses sérieuses.

Non mais dis… bon d’accord.

Et plus encore…

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

En plus de la marche arrière. Yann Febvre

En plus de la marche arrière. Yann Febvre

Comme ça meut. Yann Febvre

Comme ça meut. Yann Febvre

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Souvent toujours. Yann Febvre

Souvent toujours. Yann Febvre

Portant que de savoir. Boris Billier

Portant que de savoir. Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier