Chromique #455

À la supérette

Comme la vie t’use, petit.

Lecture approximative de ton environnement.

J’ai essayé, essayé, et essayé à nouveau. Jamais je n’ai réussi à colmater la fuite du temps.

Victimes, soulève-toi.

La sortie est à fond à gauche, porte verte.

Je sais pas ce que j’aimerais le plus, de l’esprit sous la casquette ou des prix à la supérette.

J’écris comme je respire, sans génie.

Et dire qu’on a été pépère pendant des millénaires.

Pense avec une gomme.

J’adore les échecs, ça rend la vie plus brillante.

Grand magasin du commerce du monde de l’univers.

Objets du quotidien. Une image de Yann Febvre pour une de ses chroniques pour Magazine Aléatoire.

Je suis une œuvre collective.

T’as remarqué, j’en dis des choses, mais ne t’inquiète pas, je ne suis sûr de rien.

Ce journal manque résolument d’aplomb… Zut.

Un jour je ne me souviendrai plus de moi.

Tu connais la dernière ? Le temps c’est du fromage, il nous est compté.

Je suis tombé sur tes certitudes, je vomis ta langue.

Que sais pas qui qu’a inventé la musique que sans ouf sûr sûr que sais pas quoi que j’écouterais !

Cherche pas, suis parti avec la caisse.

Quatre vérités, c’est tout ?

J’ai remplumé la manivelle, c’était bien.

Je suis l’ombre, et je reste toujours à mes côtés.

Et ailleurs…

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier

Le cheval à l’étage. Yann Febvre

Le cheval à l’étage. Yann Febvre

L’intérêt des lieux communs. Yann Febvre

L’intérêt des lieux communs. Yann Febvre

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Souvent toujours. Yann Febvre

Souvent toujours. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Deux trois airs de rien. Yann Febvre

Affameurs d’asticots. Ana Tot

Affameurs d’asticots. Ana Tot

No results found.