À perte de vue
Tu serais gonflé de crever demain, comme ça.
La peur dès l’autre.
Dopamine mon amour.
D’accord cowboy, t’as gagné.
Réactionnaires pleurnichards à perte de vue.
Quoi ? Faut appeler un chien un chat ?
Ce journal du soir est encore ancré on ne sait où… Zut.

J’ai lâché du leste, c’était bien.
Face à ses échecs, particulier cherche coupable. Références exigées. Pas sérieux s’abstenir.
Peuple, comme tu te malmènes.
Dans ma tête, je suis tombé sur l’âme de mes morts.
Défense de la diversité des cerveaux.
Grosse pointure oui, mais tu t’es quand même marché sur les pieds.
Arrête de croire ce que tu penses.
Yann Febvre, clair dans le sombre.
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Texte et image : Yann Febvre.
06/1951

Mourir à l’envers. Yann Febvre

L’intérêt des lieux communs. Yann Febvre

De la fuite dans les idées. Yann Febvre

En plus de la marche arrière. Yann Febvre

Une fracture sociale. Yann Febvre

Une tique beaucoup plus choc. Boris Billier

Mon rail (en tant que toyen). Boris Billier
