Comme ça meut
Y’a des jours.
Tu serais pas aveugle de la compréhension ? Juste pour savoir.
Dieu est un homme fragile.
T’es bien caché, des décennies que tu te cherches.
Mange ta tête à claques.
Hé Georges… Quoi encore Pablo !
T’as pas honte de ton monde ? Tu préférerais pas être juste un microbe, une pierre, du vide ?
Hé toi, petit castor, tu l’aimes la baignade dans les stations de bords de mer dis.
Comment tu vas faire lorsque tu n’auras que ta tête pour réfléchir ?
À la une du journal du matin… Zut.
J’ai fait de la lutte un port d’attache.
N’y pense plus, c’est rien.
Ravi d’apprendre que tu n’as rien à dire, l’inverse eut été difficile, question de niveau.
J’étais à l’hippodrome, sous un certain angle.
Quand je n’existais pas encore, je me demandais la forme que j’aimerai prendre, plus ouverte peut-être, mieux pensée, plus lumineuse, plus insensée sans doute, moins carrée.
J’ai rendu l’âme, c’était bien.
Tu déchires grave tout le long des pointillés.
Ça se peut comme ça meut.
Y découvre la vie Yann Febvre.
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07/2089